Les Oubliés du Cinéma : « Cinéma de guerre »

Les périodes de guerre, contrairement aux idées reçues, sont propices à la création d'images cinématographiques. Deux exemples aux antipodes l'un de l'autre pour revoir la Seconde Guerre mondiale. [ Programmation de l'ECPAD ]

Les Oubliés du Cinéma : TABLE RONDE « Identifier un film »

Découvrir le titre d'un film, l'histoire d'une copie relèvent parfois de l'enquête policière. Trois limiers livrent leurs méthodes (Patrice Delavie du CNC - Emmanuelle Berthault de la Cinémathèque française - Francesca Bozzano de la Cinémathèque de Toulouse)

Les Oubliés du Cinéma : « L’école buissonnière des images »

Dès les premières années du XXe siècle, le cinéma rentre à l'école soit pour illustrer les propos des enseignants soit pour révéler le monde aux élèves. C'est aussi l'outil idéal pour témoigner d’expériences pédagogiques novatrices jusqu'à ce que l'élève passant derrière la caméra se réapproprie un univers qui jusque-là lui échappait. [ Collection de la Cinémathèque de Saint-Étienne, de l'Institut Jean Vigo, d'Image'Est et de la Direction du patrimoine du CNC. ]

Les Oubliés du Cinéma : « C’est aussi du cinéma »

« C'est aussi du cinéma » Les cinémathèques et centres d'archives conservent des films, mais aussi des objets cinématographiques qui sont parties intégrantes de l'histoire du cinéma et de la séance de cinéma, même s’ils n'en sont pas le point central. [ Une programmation de Ciclic, de la Cinémathèque Universitaire et de l'Institut Jean Vigo ]

Les Oubliés du Cinéma : « France Nord/Sud »

À partir des années 1970, le cinéma se fait en province. Grenoble et Marseille sont des centres de production prolifiques. Deux projections pour la séance « France Nord/Sud » : Monsieur Martin aura quarante ans demain & Martigues 74. [ Collection de la Cinémathèque de Grenoble et de la Cinémathèque de Martigues ]

Les Oubliés du Cinéma : L’Iconostase

L'Iconostase est « une apologie de la liberté de création contre tout conformisme officiel (social, politique, religieux) possible. C'est [...] le Roublev du cinéma bulgare, mais dpouillé de tout mysticisme [...] » (Albert Cervoni, Les Écrans de Soifa). [ Collection de la Cinémathèque de Toulouse ]