Description de l'évènement

C0ncert de l’Impasse Humaniste : “Vae Nuntius, an Ennio Morricone and other western tribute”

 

En avant-première, une composition originale réalisée par l’Impasse Humaniste, inspirée de l’œuvre magistrale d’Ennio Morricone et de sa contribution au Western spaghetti.”

Certaines œuvres peuvent marquer, laisser une empreinte. D’autres peuvent irradier tant elles représentent un aboutissement à la croisée de plusieurs disciplines. Elles impressionnent au sens photographique du terme.
Les œuvres d’Ennio Morricone, dans la collaboration avec Sergio Leone sont de celles-ci ; flamboyantes, irradiantes. Elles accompagnent l’enfant dans son cheminement jusqu’à l’Age adulte de manières discrètes, parfois enfouies souvent affleurantes. Ainsi, comme la pluie devenue eau souterraine rejaillit immanquablement à l’air libre mais transformée, il en fut de même avec la musique d’Ennio Morricone.
Le travail de composition du groupe L’IMPASSE HUMANISTE entamé il y a deux ans pour un film rêvé est une manière de revisiter ce ressenti.

(Durée : 40 minutes, un extrait ici )

Suivi de la projection de :

Colorado
(La resa dei conti)

Sergio SOLLIMA
Italie, 1966, 1h30 (Num.)
Musique : Ennio Morricone
Int : Lee Van Cleef, Tomas Milan…

Un justicier américain sans insigne mais honnête poursuit un péon mexicain malicieux accusé par un magnat texan d’avoir violé et tué une fillette. Mais les choses ne sont peut-être pas si simples…

Leone et Corbucci : d’accord ! Mais Sollima ? Vous croyez en savoir long sur le western spaghetti et pourtant il vous manquait un Sergio. Moins iconoclaste que Leone et plus sage que Corbucci, Sollima est un styliste indéniable, capable de faire d’une attaque au couteau, un bijou de dynamisme pur.

 

Billetterie

 

 

Le cinéma italien se déchaîne
Vers la fin des années 50 et surtout dès le début des années 60, l’Italie devient le paradis du “Cinéma de Genre”. Cette période qui couvre une bonne vingtaine d’années voit se succéder sur les écrans des films de cape et d’épée, des péplums, des westerns, des films d’espionnage et début des années 70, deux autres genres, le Giallo et le Thriller à l’italienne. Souvent méprisé par la critique, ce cinéma a pourtant donné de véritables œuvres d’art et inspiré de grands cinéastes actuels qui s’en revendiquent, tel Quentin Tarantino.

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