Dans ce classique du cinéma latino-américain, Tomás Gutiérrez Alea nous propose de suivre les pas de Sergio, un bourgeois qui décide de rester à Cuba après la victoire de la révolution de Castro et Guevara.
Un homme qui dort est l’adaptation d’un roman éponyme écrit à la deuxième personne du singulier par Georges Perec et publié en 1967. Ce livre met en scène un jeune étudiant qui décroche de la vie et se referme lentement sur lui-même...
En février 1994, dans les Pyrénées, un homme disparaît sans motif. Marti est un homme normal ; un peu timide. Un matin, il s’éloigne de son village espagnol sur sa moto.
Konstantin, jeune écrivain vit avec son oncle dans une maison au bord d’un lac. Sa mère et son amour de jeunesse les rejoignent. La solitude habite chaque personnage...
Été 1890. Pour se faire un peu d’argent et nourrir sa famille, Anton Tchekhov, médecin modeste, écrit des nouvelles pour des journaux qu’il signe Antocha Tchékhonté.
Lors d’un voyage scolaire à Sienne, le réalisateur est tombé en pâmoison devant la Maestà de Duccio, un immense - polyptyque du Trecento qui représente les vingt-six étapes de la Passion du Christ.
Des amis de longue date, appartenant au milieu de la gauche culturelle, se retrouvent pour une rituelle soirée-buffet sur la vaste terrasse romaine de l’un d’entre eux.
Que reste-t-il de nos amours ? Le film d’Ettore Scola, qui oscille entre la nostalgie et le rire, entre la mélancolie et la tendresse, a proposé en 1974 une réponse qui est devenue un classique du cinéma italien.
Unique long métrage réalisé par Saul Bass, LE grand spécialiste des génériques (Hitchcock, Preminger, Scorsese...), Phase IV reprend un des grands thèmes de la science-fiction : une espèce animale mutante devient un danger pour l’homme.
Tous les jeudis, Jean et Gabrielle reçoivent dans leur appartement luxueux du Paris de 1910. Apparemment soudé, leur couple éclate lorsque Jean tombe sur une lettre de sa femme qui lui annonce son départ avec un amant.
1908, une affiche promotionnelle de la maison Pathé proclame : »Tous y mènent leurs enfants ! »
Mais de quoi parle-t-on ? D’un musée ? D’un parc d’attraction ? Non, il s’agit de cette nouvelle invention déve...
Insiang habite un bidonville de Manille avec sa mère tyrannique. Elles hébergent également la famille du père, parti du domicile conjugal avec sa maîtresse. Insiang se démène corps et âme pour survivre dans ce quartier où chômage et alcoolisme font partie intégrante du quotidien.
À New York, en 1900, une bourgeoise se fait voler sa fourrure par un gamin. Elle le poursuit dans les rues, elle le course et, après un long moment, se retrouve dans un quartier dont elle ne soupçonnait même pas l’existence, où surviennent des clochards, des ivrognes, des chômeurs. Et c’est toute la misère du monde, soudain, qu’elle découvre...
Deux (anti-)héros shakespeariens, Cutter et Bone, luttent pour qu’éclate la vérité sur les crimes sexuels d’un magnat du pétrole dans une petite ville.
Dans une salle de bal défilé l’histoire de la France, des années 20 aux années 80, au gré des musiques qui ont rythmé ces décennies. Le Front Populaire, la Seconde Guerre mondiale, la Libération et Mai 68 sont ainsi évoqués sur fond de jazz, de rock’n’roll et de musique disco.
La jeune Paula Bélier a un dilemme. Doit-elle suivre sa voie ? Celle qui, tracée depuis toujours, la rend indispensable à ses parents agriculteurs : auxiliaire de ferme, mais aussi traductrice et porte-parole ; elle est la seule de la famille à ne pas être sourde-muette.
Sur différents lieux clés des routes migratoires en Europe, des voix, des visages, des corps et des paysages racontent la violence qui se cache derrière l’euphémisme de "contrôle des flux".
Le réalisateur Avi Mograbi et le metteur en scène Chen Alon partent à la rencontre de demandeurs d’asile africains que l’État d’Israël retient dans un camp en plein désert du Néguev.
L’Institut Jean Vigo et l’association U.I.S.C. s’associent pour une programmation cinéma autour du Street Art durant le MOS France (Meeting Of Styles) de Perpignan.